19 juin 2010
Nous étions 20 ou 30.
La voie est libre tu peux partir maintenant.
Quand le soir est tombé du haut de son mètre quarante, nous nous sommes demandés quelle était ce bruit lancinant qui nous perçait les oreilles?
C'était toi et ta respiration maladive.
La liberté n'a pas de prix mais tu te lamentes dans un combat définitivement perdu.
Laisse le champs d'honneur aux vaincus qui méritent leur repos.
Dans les champs de mines le jour peut se lever sans silence de deuil.
L'oubli sera facile, pas la vie.
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